Pas de but à atteindre, pas d'illumination à la clef. Le personnage s'y accroche, dans l'illusion de voir sa valeur croître.
Il se débattra et il finira par se fatiguer.
On est invités à déposer l'armure, à accueillir la peur de ne plus savoir. La peur de mourir, de ne plus exister.
La traversée de l'enfer se produit à l'intérieur, chaque fois qu'on refuse d'explorer nos propres dissonances.
Et nul besoin d'imaginer une seule seconde à gouter un jour; au paradis en soi, si on s'attend qu'à voir, amour et lumière dans le reflet de son miroir.
Andrea Amorim
Réserver une séance:
Commentaires