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Photo du rédacteurAndrea Amorim

Je vous dit tout ! Pourquoi je priorise les pratiques d'intégration plutôt que celles de transcendance.


Un partage personnel mais rempli de l'humanité qui m'habite. Qui me relie de plus en plus au vivant, en soi et au tour de soi.


Défaire pour mieux-Être dans cette existence est mon appel du cœur. Cela demande une adaptation et intégration constante des apprentissages, des expériences sur son propre parcours pour l'appliquer lors des séances auprès de l'Autre et dans un cadre tellement particulier et délicat qui est l'accompagnement thérapeutique.


Chaque personne, enseignant, transmetteur, consultant, entourage, joue son rôle et est extrêmement précieux et nécessaire pour que cela ait lieu. C'est un des cadeaux. Merci à eux, à vous, à nous.



La Vérité demeure dans nos cœurs, apaisés.


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C'est en 2017 que j'ai pour la première fois goûté à un état de conscience élargi, par le biais 

d'une pratique psycho-corporelle, intentionnellement explorée. 


Un nouvel univers s'ouvrait à moi, mêlant joie, jouissance et réconfort, enfin donnant sens à l'inexplicable.


Depuis cet instant, ma quête n'a cessé, me menant à découvrir et à cheminer, jusqu'à m'imprégner en me formant à des pratiques incluant comme porte d'entrée, les états élargis par l'inconscient, le corps et la respiration. 


Avant de partager ces outils dans mes accompagnements, il me revenait la responsabilité de vivre le processus.  Les oscillations évolutives et involutives, de témoigner la clarification ou la désorientation que ces pratiques peuvent engendrer.


C'est un univers constitué de multiples dimensions entrelacées : la posture du thérapeute, l'environnement proposé, le format, l'intention, les attentes, les projections, d'un côté comme de l'autre.


Cependant, ces diverses explorations et ses expansions, ne sont pas sans conséquences pour la conscience, le corps, le système nerveux...


Faire monter en nous une énergie ascendante demande une capacité à contenir le psychique, à danser avec l'énergétique et à respecter notre physiologie.


Dans le cas contraire, nous ressemblons à des parois d'une cocotte-minute subissant une pression intense. Car plus l'intensité augmente, plus les sensations sont vives, colorées, impressionnantes... 

et plus l'égo se sent exister.


Or, ressentir ne signifie pas toujours être dans la conscience vivante. C’est pourquoi ma pratique se mets de plus en plus, au service de ce prisme nouveau,  mais vivant depuis TOUT-JOURS. 


Ajourd'hui, je vous invite à revisiter L'EXTRA-ordinaire, pour être dans L'INTRO-ordinaire.


Reconnaître le miracle de notre corps  et de chacun de ses systèmes. 

Accueillir les murmures de nos cœurs, être attentif aux intuitions qui nous guident, et 

cultiver la confiance en cette parte en nous, qui sait.


Retrouver le chemin de la respiration complète, du toucher réparateur, de la simple présence.

Du regard dénudé, de la lenteur quotidienne, de la patience dans la guérison.


Écouter la voix qui, par son souffle créateur, demeure dans l'axe de la bénédiction

La bonne diction au sein du conscient et de l’UN-conscient.



Andrea



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